lundi 27 septembre 2010
Ce soir je me sens seul, car malgré le nombre de personne que je connais, je ne peux pas m'empêcher de me sentir seul. Tout le monde chez moi dort. Tout le monde, les quelques personnes qui n'ont que cette maison comme refuge. Je n'arrive pas à dormir. Le soir où j'ai essayé de me coucher tôt, j'ai passé quelques 2/3heures à me tourner et me retourner sur mon lit à penser. Penser et contempler l'échec qui est devenu ma vie. Heureusement la tristesse aime la compagnie. Mais malheureusement j'étais seul ce soir là.
En voiture je vois les gens passer. Chacun ses rêves, ses ambitions, ses problèmes aussi. Je me sens donc moins seul tout à coup. Puis je vois des personnes hauts placées qui ont tout pour eux, la voiture parfaite, la maison parfaite, les vacances parfaites, l'amour, oui celui dont je manque le plus en ce moment. je donnerai tout pour être à leurs places. Mais parfois je me dis que c'est peu être mieux comme ça. C'est peu être ces petites erreurs que je commets et que j'appelle le "Destin" qui font bien les choses.
vendredi 17 septembre 2010
AMERICAN DREAM.
NEW YORK, LOS ANGELES, LAS VEGAS. L'AMERIQUE.
Et si le rêve devenait réalité ? Faire les magasins à N.Y, bronzer à L.A, virer au bad trip à Vegas. Ce soir je veux m'évader, je veux oublier tout ce qui m'entoure, après tout, quand t'es pas heureux là où tu es, t'es bien obligé de créer ton bonheur ailleurs. Je veux aller au Time Square, mitrailler tous les recoins de photos, je veux me perdre à N.Y. Y trouver l'amour peu être. Aller à centrale park. Passer par L'Upper East Side, et regarder ces maisons hors de prix et se dire que ce n'est pas pour moi tous ça. Prendre un Frappuccino Mango de chez Starbucks et marcher vers l'inconnu. Évidement, tard le soir après avoir fait la tournée des bars, je prendrai un des taxis jaunes et rentrer à mon hôtel à Brooklyn. Euh ? J'en demande trop peu être ?
mercredi 15 septembre 2010
mardi 14 septembre 2010
Un week end à Paris.
Le 10 Juillet 2010, à 5h du matin déjà debout, tout excité car je prends l'avion dans quelques heures pour Paris. Je reste perplexe tout au long du trajet à l'aéroport en voiture. Avoir ma place dans cet immense avion était déjà une très grande réussite. Le décollage s'est passé à merveille, j'étais aux anges, je suis même passé au dessus de chez moi, bannissant ce lieu immonde où j'ai vécu depuis déjà 17ans. Le voyage s'est bien passé, l'atterrissage aussi. Je m'émerveillais devant ce lieu tout nouveau pour moi. A la sortie de l'aéroport, on retrouve ma mère et moi son cousin, chez qui j'étais censé passé quelques jours. En voiture vers la maison, j'étais moins satisfait, ça me rappelait un peu mon pays, le Maroc. A la sortie du périphérique je vois Paris, la vraie, celle qui m’a fait chavirer le cœur dés le premier contact.
Place de la Bastille. Premier lieu qui m’a touché, que j’avais d’ailleurs vu dans un film ; les chansons d’amour. A la maison, j’étais triste, je voulais à tout prix sortir et découvrir cette ville magnifique. Après un long moment d’attente, on est sorti en voiture, c’étais un samedi, devant les galeries Lafayette, un nombre incroyable de gens, de toutes races, ce défilé me fascinait. Mais j’aurais aimé ce jour là descendre de la voiture et pouvoir marcher seul dans la rue, passer inaperçu à coté de ces gens avides. Le lendemain marché de la Bastille le matin. Des arabes, des chinois et des africains tenaient ces petits commerces qui faisait de ce petit marché un lieu de convivialité. Plus tard dans l’après midi, on est allé faire du bateau mouche, dans la route je découvrais encore d’autres lieux féeriques de paris. Dans le bateau, j’étais totalement dans les nuages, tout cela était trop pour moi, j’étais pas très dans mon élément, j'etais excité, et triste à la fois. Excité de vivre ce moment magique et triste parce que j’avais raté ça depuis longtemps. Je regardais les gens, chacun d’eux m’inspirait la haine, j’aurais pu être à leurs places. Mais après un moment j’ai repris mes esprits et j’ai profité de ce tour magnifique. Pont des invalides, il m’a particulièrement fasciné, son architecture était spéciale à mes yeux . Après plusieurs photos, je me promettais d’ y revenir à ce pont un jour. Juste aprés, on a été deposé aux champs elysées. J'en avais tellement entendu de ce Boulevard, comme étant le plus beau au monde. Ce n’était pas que des rumeurs. Après avoir dévaliser les magasins cheap du Boulevard, il faisait déjà presque nuit. Comme on nous avait indiqué la station du métro « Franklin Roosevelt » qui se trouvait juste en face du magasin Zara qui nous servait d’indicateur et la ligne 9, qui emmenait à quelques mètres de la rue où nous étions logé, la rue Neuve Popincourt, au 11éme , ma Mère et moi n’étions pas préoccupé du retour, sauf que sur place, on s’était trompé de direction, on a du faire une bonne demi heure de chemin pour que finalement se retrouver dans le terminus, c’étais ma première fois au métro. Ce soir là il y’avait la finale de la coupe du monde, l’Espagne l’avait emporté devant les pays bas. Il y’avait un monde fou dans les rues de paris, les cris de joies provenaient de partout.
La gare de Montparnasse, où on devait prendre le TGV pour Angers où nous attendait mon frère. Je n’ai jamais autant de foule dans une gare, non plus autant d’organisation. Dans le train des français à coté de moi, lassés de cette ville et de ce pays que moi je découvre à peine, et puis le paysage qui défile.
lundi 13 septembre 2010
Les étoiles les plus brillantes sont les plus éphéméres.
Quand tout le monde va bien, moi je vais mal. L'été touche à sa fin. Ramadan touche à sa fin. Les pubs et les bars ré ouvrent. Et ma seule envie c'est d'aller me renverser la tête, mais ça ne risque que de me déprimer encore. Je me sens seul. Je me sens vide. Et personne à qui me confier, même pas à moi même. J'ai peur. J'appréhende le début de cette année qui s'annonce chaotique. Même mes pseudos-amis semblent avoir trouver un peu de bonheur. Nous qui avons rêver d'un après-bac prometteur, qui rime avec nouvelle vie, nouvelles responsabilités. Mais rien de cela n'a l'air de fonctionner. Je reste au Maroc, à Casablanca; ma ville natale.
J'écoute Michael Bublé et son remake de "Feeling good" qui est entrain de dire qu'il ressentait une nouvelle aube, un nouveau jour, une nouvelle vie... Et qu'il se sentait bien. Tant mieux pour lui, ce n'est pas le cas pour moi.
Il ne me restait que ce que j'avais vécu cet été. Un mois partagé entre Paris et Angers. Le rêve, si j'étais allé seul ou du moins mieux accompagné. Place de la Bastille, l'opéra, le bout du monde avec V' et mes petites habitudes qui se sont effacées une fois rentrer chez moi.
Mais enfin, oublions tout ça. Je dois vraiment penser à arrêter de prendre mes rêves pour des réalités. Je veux avoir ce déclic, cette action, cette phrase ou tout simplement cette pensée qui changerait ma vie.
Il ne me restait que ce que j'avais vécu cet été. Un mois partagé entre Paris et Angers. Le rêve, si j'étais allé seul ou du moins mieux accompagné. Place de la Bastille, l'opéra, le bout du monde avec V' et mes petites habitudes qui se sont effacées une fois rentrer chez moi.
Mais enfin, oublions tout ça. Je dois vraiment penser à arrêter de prendre mes rêves pour des réalités. Je veux avoir ce déclic, cette action, cette phrase ou tout simplement cette pensée qui changerait ma vie.
Mon rêve de l'ailleurs s'étant envoler en route, je dois me reprendre en main et passer à autre chose. A quoi justement ? à mon rêve futile de la célébrité ou celui de la Sorbonne et la vie à Paris ? Nul des deux. Je dois garder les pieds sur terre et me construire un avenir pour pouvoir me payer ces vacances de rêves à Cuba, à New York ou tout simplement à Paris.
A suivre.
Bonjour cher visiteur.
Tout d’abord quelques mots seulement pour me présenter mais je pense que vous allez apprendre à me "connaître" tout au long de mon blog. Je suis un jeune blogueur à la recherche du bonheur, j'écris pour me vider, et aussi pour transmettre mes réflexions. Je parle de ma vie, une vie assez typique, d'ailleurs la plupart d'entre vous s'y reconnaitront. Ce blog est destiné à tous les rêveurs, les décalés de la société, les rebelles, les incompris, les mélancoliques, les nostalgiques, les ambitieux et tous ceux qui se noient dans leurs pensées à la quête du bonheur absolu.
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